Cultures peu polluantes : les principaux avantages à en tirer !

La modernisation de l’agriculture ces dernières années a entrainé une augmentation de la pollution tant de l’environnement que des aliments. En effet, avec l’usage de plus en plus récurent des pesticides, il est désormais évident que la santé des consommateurs est exposée aux plus grands dangers. Dans un tel contexte, quel est donc l’intérêt des cultures peu polluantes ? Découvrez-le dans la suite de cet article.

Sommaire

Le CBD : un exemple de culture peu polluante


La
culture du CBD peut être énumérée parmi les rares exemples de cultures peu polluantes employées depuis peu. En général, le CBD peut être cultivé en extérieur, en intérieur ou en mode greenhouse. C’est particulièrement la technique greenhouse qui permet de faire une culture absolument saine et respectueuse de l’environnement. D’un côté, la croissance des plantes est entièrement contrôlée et de l’autre, celles-ci peuvent profiter aisément de la lumière du soleil qui les éclaire pour croitre plus rapidement. La culture greenhouse ne nécessite pas du tout de faire usage de pesticides ou d’engrais chimiques. En savoir plus sur les différents dérivés et usages des plants de CBD obtenus sur ce site.  

Protéger durablement les sols

La majeure partie des cultures sont assez polluantes. Elles ont donc un impact négatif sur les sols. Elles contribuent généralement à :

  • La pollution profonde des sols allant même jusqu’à la nappe phréatique ;
  • L’épuisement des sols qui sont de plus en plus appauvris en substances nutritives ;
  • La dénaturation des sols avec des conséquences certaines sur les productions ;
  • La disparition progressive des espèces animales habitant le sous-sol ;
  • Un déséquilibre profond de l’écosystème, etc.

Au regard de tout ceci, il est indispensable d’opter pour des modes de culture durables, afin de protéger durablement les sols. Ce type de cultures a souvent la particularité de ne pas impliquer l’utilisation d’engrais chimiques ou de produits pouvant polluer les terres. Elles s’adaptent principalement au type de sols sur lequel elles sont réalisées et ne nécessitent pas forcément de les dénaturer.

Pour la protection des consommateurs


Des recherches effectuées en 2018 par des organismes de santé ont révélé que la majeure partie des fruits et des légumes se trouvant sur le marché contenaient des pesticides. Certains fruits comme la cerise par exemple, semblaient être couverts à 87 % de pesticides. Des chiffres énormes n’est-ce pas ? Pourtant, c’est bien vrai ! Une importante proportion des fruits et des légumes vendus aujourd’hui encore sont le résultat d’une agriculture intensive et faisant malheureusement usage d’une importante quantité de pesticides. Cela explique donc tous les résidus retrouvés sur ces derniers.

Les pesticides se trouvant dans les aliments consommés ont un impact négatif sur la santé du consommateur. C’est donc dans le temps qu’ils contribuent à la dégrader. Ils engendrent sur le long terme des problèmes oculaires, des dérèglements hormonaux et bien d’autres troubles métaboliques. En optant pour des cultures peu polluantes par contre, on a la garantie de produire exclusivement des denrées saines, de bonne qualité et n’ayant pas d’inconvénients pour la santé du consommateur. C’est donc une nécessité absolue.

Auteur du message: Etienne

Très porté sur l'environnement et sur l'écologie, je souhaite sensibiliser les plus sceptiques à travers mes articles.